Le mal du siècle : faire pour faire
Lanthimos a trop de pognon pour produire ses films alors il ne se concentre pas, croit qu’il suffit de claquer des doigts, de mettre des acteurs sublimes et très chers dans de beaux décors avec des belles lumières, leur faire jacter des dialogues chelous et leur faire se couper des doigts ou des jambes pour faire film.
Une coquille vide, a changé probablement trois fois d’idées et donc a trouvé la solution miracle : couper ça en trois courts métrages type fin d’études vendre tout ça en prenant la pose sur la couv de telerama ou libé avec un putain de costume marron et un air mi ténébreux mi innocent. Mais ouiiii Yorgos quand tu te réveillés le matin et que tu te laves les chicots, ton reflet dans le miroir c’est bel et bien celui d’un gros imposteur ! Arrête ta sauce mi Haneke mi Lars von trier mi chépakoi en te prenant pour Eugène Ionesco tu fatigues là.