L’entreprise Petrox envoie une équipe chercher un gisement sur l’île du Crâne. Elle se frotte aux autochtones qui offrent en sacrifice Dwan à leur dieu, un gorille titanesque.
C’est l’aspect fleur bleue qui prime dans ce métrage ; s’il était délicieusement équivoque dans l’original, il devient des plus troublants, voire risible par exemple lorsque le primate et l’héroïne échangent des propos naïvement romantiques tels « Ça ne pourra jamais marcher entre nous » ou bien quand il la caresse lascivement et tente même de la dénuder. Les yeux du macaque sont tendrement expansifs. Un paradigme cinématographique du pouvoir destructeur de l’homme.