Quand la mort est une meilleure issue...

J’avais trouver cette…chose dans un cash à un prix défiant toute concurrence. Heureuse et plein d’entrain, je les poser sur mon étagère attendant le bon moment pour le voir. Effectivement je n’avait vue qu’un seul film contenant le gros singe le plus aimer du cinéma. Je penser le boire comme un bon vin ayant bien aimer le King Kong de 1976. Sombre erreur…

Déjà, excuser moi du langage mais, ressusciter King Kong version troisième âge avec un coeur artificiel (comme mon papi), c’est de la merde.
Le singe revient donc tel Jesus sans aucune trace d’opération quelconque batifoler dans la ville à la recherche d’une petite nouvelle euh… On l’appelle juste « la femme de King Kong » mais c’est long donc on va l’appeler « faciliter scénaristique ».

Bref, je ne vais pas raconter le film ce n’est pas le but mais quel déception…
Les effets spéciaux ont sacrément mal vieilli (je pense surtout à une scène avec l’un des singe devant une armée...), il est très lent et ne fait que répéter sans cesse les mêmes clichés…

Un bon navet qui peut surement être drôle avec des ami(e)s mais que j’ai du subir seul.