Et nous voilà reparti 3 ans après avec presque les mêmes pour une autres aventures des Kingsman.
Et après un méchant barré dans le premier avec un look d'adolescent américain attardé, cette fois ci l'adversaire c'est une charmante femme interprétée par l'excellente Julianne Moore, et elle s'appelle Poppy.
Sauf que elle aussi a un grain, elle aussi veut tout révolutionner et utilise une drogue pour faire chanter le président des USA.
Cette drogue est terrible et détruit à petit feu.
Alors voici notre duo, que dis je notre trio avec Merlin, et même un quatuor car une Halle Berry Etonnante avec ses lunettes de prof qui veulent combattre le mal.
Encore une fois, c'est décalé, c'est parfois très incorrect, la scène du concert, avec l'introduction de l'implant, c'est quand même dingue.
Et puis que de scènes encore impressionnantes de bagarres, et de luttes sans merci entre le bien et le mal.
Enfin il manquait la guest star inattendue, the rocket man, avec une tenue très plumes, très kitch, très Elton John.
Cet opus numéro deux est différent mais d'une originalité encore plus hors des sentiers battus.
Pour ma part même si le premier a une légère préférence, ce style de cinéma est assez rare, et permet d'abimer certains mythes, certaines "us et coutumes" qui avaient bien besoin d'être secouer dans un tourbillon de mauvais gout, et de crise de "lèse majesté" .
Un petit conseil pour le déguster, un bon alcool de 20 ans ans d'Age, un bon vieux rock de 20 ans d'âge, et surtout aucun a priori pour déguster ces Kingsman