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Vouloir libère
A mille lieues du Black swan d’Aronofsky, Kiss & Cry fait le pari du réalisme, en mettant en scène le quotidien d’une jeune patineuse « championnable » (Sarah Bramms) au sein du club de patinage...
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le 24 avr. 2020
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Kiss and Cry par HorsebackRevenge
Un film dans l'univers du patinage artistique... que dire si ce n'est que la barre est placée haut, très haut, d'un point de vue investissement et sportif pour ces adolescentes ou jeunes filles. Tellement haut que le combat des parents pour pousser leur progéniture semble assez vain, la fin du film est même une libération à ce niveau même s'il s'agit de renoncement, oui mais renoncement à un carcan étouffant et une vie d'ascète.
De l'autre côté, la vie n'est pas beaucoup plus reluisante, entre alcool, shit, cul et réseaux sociaux. Peut-être une façon pour elles de relâcher une pression trop forte. Parents trop autoritaires (ou du moins, étouffants), enfants piégés, drame à l'horizon ? Mais dans ce film il y a encore de la marge, les personnages ont du caractère et de l'impertinence à revendre, ce n'est donc pas du misérabilisme.
C'est juste la fin d'une passion, diluée dans les frasques adolescentes et l'inaccessibilité d'un rêve de devenir un jour une grande patineuse 10/10, car de ce que j'ai compris, l'héroïne n'est pas extrêmement prometteuse. (ceci n'est jamais dit explicitement, hélas)
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le 9 oct. 2017
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