Jennifer Reeder expérimente, s'inspire de Lynch, en prend violemment le contre-pied dès qu'elle peu, teste un peu tout. Ce qui ressort de son film c'est une certaine confusion. Knives and skin a des moments hypnotiques, d'autres brillants, mais est plombé par de nombreuses lourdeurs, une musique très moyenne et un manque de ligne directrice.
A force de vouloir faire original et mystique, la réalisatrice perd complètement son spectateur qui sombre dans l'ennui, pendant que le film sombre lui dans le n'importe quoi.
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Créée
le 2 déc. 2019
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