Une Chantal Goya méconnaissable, un Jean-Pierre Marielle comme toujours irrésistible par qui arrive le plus gros des rires, un parti pris de mise en scène assez curieux (presque que des travellings, des allers-retours de caméra quasi permanents de gauche à droite, les acteurs qui jouent face caméra) : voilà ce qui compose ce huis-clos aussi charmant que bizarre, ovni tantôt savoureux, tantôt déconcertant.

AlexandreAgnes
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le 21 juin 2016

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Alex

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