Résister à cet appel incessant

L'appel de la chair (1971)

Avoir des tendances sexuelles déviants, c'est parfois difficile à gérer c'est clair.

Percevoir sa femme morte et croire qu'elle nous persécute, tu devrais vite consulter petit père.

Face à tout ses problèmes difficile d'avoir une relation amoureuse stable, que faire ?.

Nous ne sommes pas des animaux mais comment résister à L'appel de la chair.

Bonjour à tous amis de l'angoisse, aujourd'hui attaquons nous à L'appel de la chair d'Émilio Miraglia à qui nous devons La dame rouge tua sept fois, Joe Dakota ou Casse au Vatican. Alan Cunnigham as perdu la tête et pratique des jeux sadomasosistes avec des femmes lui rappelant sa défunte épouse, tout sa risque de mal tourné. Bon, nous voici devant un giallo intéressant avec une histoire regroupant plusieurs choses pouvant nous perdre (une introduction dans un asile, une séance de spiritisme, des séances de sadomasochismes dans un château..), néanmoins l'histoire se suis plutôt bien entre folie ou réalité jusqu'à un final en 2 parties que j'ai aimé dans son premier axe mais moins dans son deuxième qui aurait mérité des effets spéciaux plus poussés pour offrir un vrai final moins nanardesque, les décors sont beaux avec ce grand châteaux et ses alentours, ainsi que cette crypte macabre, un mélange d'ancien et de ressent, de gothique et d'actuel, la bande son est agréable et ce mêle bien au reste du film, ce dernier souffre selon moins en revanche de certaines longeurs mais à cependant réussi à garder mon intérêt, les effets spéciaux ne sont pas trop mauvais sans être exceptionnelles avec des morts sanglantes et diverses, la scène de la crypte qui finit sous une pluie diluvienne était bien mise en place et apportée une atmosphère très sombre un peu à la Hammer, j'ai aimé le visuel du cadavre qui s'avérait efficace. Au niveaux des acteurs j'ai bien accroché au jeu de Anthony Steffen comme à celui de Marina Malfatti et Enzo Tarascio. Bref, un giallo pas parfait mais qui possède assez de bonnes idées pour être divertissant, allez tchuss crevez tous Mouhaha 😈😈😈.

L'histoire d'Alan Cunningham, un noble traumatisé par sa vie auprès de sa femme Evelyne, et de la mort de celle-ci.