L'échine du diable (2001)
La guerre civile fais rage et un groupe d'enfants vie une situation peu enviable.
La nourriture manque, un obus se trouve au beau milieu de la court et un fantôme soupire de façon peu appréciable.
Jacinto semble également être étrange et avec lui dur d'être conciliable.
Face à ce qui va s'abattre sur cet endroit, cela donnerez de l'effroi jusque dans L'échine du diable.
Bonjour à tous amis de l'angoisse, aujourd'hui attaquons nous à L'échine du diable de Guillermo Del Toro à qui nous devons Le labyrinthe de Pan, La forme de l'eau ou Nightmare Alley. Bon, déjà merci à libellule de m'avoir conseillé de voir ce film réalisé par le grand Guillermo Del Toro dont nous adorons l'univers, il y a comme toujours une grande poésie entre tristesse et fantastique le tout mêler de réalité avec ce partit pris d'encrer le film pendant la guerre civile espagnole, le mélange pourrait faire penser au labyrinthe de pan entre ses 3 éléments mais il n'en est rien, le film possède son histoire qu'il réussit à nous faire vivre à travers ses protagonistes mais aussi grâce à ce fantôme ou cette bombe semblant être le témoins immobile de la cruauté humaine, comme souvent avec Del Toro le film monte en puissance et en dureté tant mental que physique avec des effets spéciaux très bien réalisés et souvent fais mains tel que cette jambes en bois, les différentes blessures ou même ses explosions, le fantôme en CGI est quand à lui très beau à la fois triste et hypnotique laissant apparaître sa blessure semblant saigner sans fin, le final est bien amené et très intéressant car il atteint un niveau de violence tout en fesant la part belle à une certaine douceur, les décors sont magnifiques avec cet orphelinat en plein milieu du désert, dernier bastion de vie autour d'une pleine aride qui permet des angles de caméra intéressants comme le point de vue de Conchita qui perçois 2 scènes différentes dans 2 pièces en simultanés ou ce ruban semblant mener la voie vers notre défunt, les relations entre les différentes personnages sont très bien écrites. Au niveaux des acteurs nous n'avons pas trouvés de fausses notes, bravo à tous tel que Frederico Luppi, Fernando Tielve ou Eduardo Noriega. Bref, un film que nous vous conseillons absolument de voir et qui reste un gros coup de coeur, allez tchuss crevez tous Mouhaha 😈 🧚♀️ 😈 🧚♀️.
Alors que la guerre civile fait rage, un jeune orphelin de 12 ans, Carlos, est placé par son tuteur républicain dans un orphelinat catholique, Santa Lucia, perdu dans la campagne. L'autoritaire Carmen et le professeur Casarès dirigent l'établissement. Le jeune garçon doit faire face à l'hostilité de ses camarades et de l'homme à tout faire, Jacinto. De plus, Carlos entend des soupirs qui semblent hanter l'imposante bâtisse.