Heureusement, il y a Ava.
Pour le reste, c'est historiquement très léger, comme toujours à Hollywood, toujours plus intéressé par la propagande et le spectacle que par l'histoire.
Mais comme Vincent Sherman est loin d'avoir le talent de Ford, ni même de Walsh, les enfants qu'il fait à l'histoire sont loin d'être aussi beaux que ceux de Dumas.
Mais il y a Beulah Bondi, Broderick Crawford (et aussi, hélas, Gable, comme souvent peu crédible, trop caricatural).
Mais, (l'ai je déjà dit ?), Ava est comme toujours sublime.
Pour le reste, des rebondissements aventureux et une romance fort convenus et peu crédibles.