Un des rares Walsh à ne pas avoir connu de sortie dans les salles françaises. La raison n'en est pas son manque de qualité, mais son positionnement difficile, proche du film noir pour sa réalisation, et réalisé d'une manière "jazzy", brumeuse, avec un faisceau d'histoires qui convergent plus ou moins vers son héroïne, femme libre, un brin cassée. Qui mieux que la grande Ida Lupino pouvait jouer ce rôle qui requiert une personnalité forte, toute en laissant apparaître des failles béantes. Elle est superbe.

Cinephile-doux
6
Écrit par

Créée

le 31 juil. 2019

Critique lue 155 fois

1 j'aime

Cinephile-doux

Écrit par

Critique lue 155 fois

1

D'autres avis sur L'Homme que j'aime

L'Homme que j'aime
Cinephile-doux
6

Femme cassée

Un des rares Walsh à ne pas avoir connu de sortie dans les salles françaises. La raison n'en est pas son manque de qualité, mais son positionnement difficile, proche du film noir pour sa réalisation,...

le 31 juil. 2019

1 j'aime

L'Homme que j'aime
Morrinson
6

"Why worry? Worry gives you wrinkles."

Ce Walsh semble hésiter entre plusieurs genres, drame familial, comédie musicale et film noir, et le ballet incessant des nombreux personnages (développés à des degrés très différents) contribue à...

le 23 juil. 2024

L'Homme que j'aime
estonius
4

Ça commence dans la confusion et ça finit dans le mélodrame et la guimauve.

Ça commence dans la confusion et ça finit dans le mélodrame et la guimauve. Ça tourne en rond, c'est ennuyeux, les personnages ont des psychologies rudimentaires. Bref tout cela n'a pas grand intérêt...

le 10 déc. 2018

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 27 mai 2022

79 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

78 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

70 j'aime

13