Le psychologue déterminerait si Geoffrey a une maîtresse, s’il est devenu pédé, s’il a attrapé une maladie ou s’il est devenu républicain
Elizabeth voit son mari adopter une modification sibylline dans son comportement.
Le métrage possède une somptueuse atmosphère paranoïaque. Le film comporte quelques scènes gores avec les cosses et une tension palpable et angoissante. De plus, il est un véritable pamphlet envers le conformisme. Il faut admettre que le protagoniste est fondamentalement antipathique, notamment par sa profession, sublimé par un Donald Sutherland grotesquement moustachu.
La fin où l’on voit le héros pousser un cri chthonien est foncièrement pessimiste.