Si on était certain de trouver le bonheur éternel après la mort, on se suiciderait tous pour pouvoir le savourer
César se confronte à quelques gorilles contestataires et, en même temps, réapparaissent des humains belliqueux.
J’apprécie cette idée de guerre sempiternelle et quelle que soit l’espèce dominante, peu importe car les singes deviennent semblables aux hommes. L’une des dernières scènes et la réplique « Un meurtre doit-il être vengé par un autre meurtre ? » interrogent sagacement la peine de mort. La fin est merveilleusement ambivalente. Néanmoins, cette conclusion demeure surérogatoire. Bref, un métrage qui évoque la violence qu’elle soit humaine ou simienne. Bilan de la franchise : chaque épisode parvient à redonner de l’intérêt notamment grâce à des twists excellemment pensés.