Critiques de La Boulangère de Monceau

Moizi
9

Harcèlement de rue

Les contes moraux ce n'est vraiment pas ce que je préfère chez Rohmer, mais celui-là, le premier de tous j'ai adoré. Alors je ne veux pas dire que c'est plus riche que ma nuit chez Maud, que le genou...

le 25 déc. 2016

17 j'aime

1

EricDebarnot
7

Une grâce croissante

En 22 minutes d'une grâce croissante, Rohmer, alors débutant, déploie les prémisses de son futur cinéma : amour de la rue parisienne, trajectoires physiques et stratégies amoureuses, sensualité des...

le 10 juil. 2016

10 j'aime

3

Yoshii
8

Coup de maître

Tout l’univers de Rohmer est posé dans ce court-métrage d’introduction à la série des contes moraux. 23 Minutes d’une intensité incroyable, dans lesquelles le réalisateur réussit le tour de force de...

le 2 déc. 2017

8 j'aime

4

bobylapinte
7

Critique de par bobylapinte

Allez go! C'est l'été, les jupes sont courtes, les décolletés plongent et on va tous courir dans la salle miteuse-qui-sent-le cheveux-gras de cinéma de quartier voir les films de Rohmer et apprendre...

le 18 août 2010

4 j'aime

mavhoc
5

Laisse moi toucher tes deux madeleines

Premier des Six Contes Moraux de Rohmer, La Boualngère de Monceau sert à donner le squelette de ce que seront les 5 autres films, dont le magique Ma Nuit chez Maud. Le personnage principal, un...

le 21 août 2014

3 j'aime

Alligator
7

Critique de par Alligator

Histoire d'un marivaudage dans les années 60, un peu guindé, un peu cruel, mais très bien filmé, façon documentaire, avec un montage serré, vif et élégant à la fois. Le commentaire du personnage...

le 11 févr. 2013

3 j'aime

JanosValuska
7

En t'attendant.

La singularité de ce moyen métrage est de créer ce dispositif parallèle où le garçon, afin de palier à l’absence de celle qu’il s’est convaincu d’être sa promise (et le sera puisque le film se ferme...

le 18 déc. 2013

3 j'aime

Vanbach
8

Pas dans la rue !

La séduction n'est pas un long fleuve tranquille. La blonde ou la brune ? Thème récurent dans la filmographie de Rohmer et toujours traité de manière délicate. C'est précisément filmé de manière...

le 27 janv. 2020

2 j'aime

1

Tob
8

L'attente et les sablés.

Je parlais, il y a peu, dans une autre critique, du flegme de Madame Varda, ici c'est celui de Rohmer qui m'épate. Dans ce court métrage du début des années 60, on retrouve Mr Schroeder en personne...

Par

le 14 janv. 2013

2 j'aime

renardquif
8

Critique de par renardquif

-Un court-métrage de Rohmer de 23 minutes, c'est absolument délicieux; je crois que c'est le meilleur mot pour décrire le cinéma de Rohmer, dé-li-cieux, et facile aussi !

le 12 avr. 2022

1 j'aime