La chute met en image les derniers jours du IIIème Reich. Après un début poussif et un Hitler peut convainquant, le film se lance grâce aux tensions qui règnent dans ce bunker étroit.
La deuxième partie du film monte en puissance et l'oppression est crescendo : la folie des proches qui ne peuvent croire à la fin de leurs Fürher, l'obsession de ce dernier à rejeter la faute sur tout le corps de l'armée, ses seconds qui ne lui font plus confiance mais n'osent pas lui dire.
Cette folie est au début caché, on pourrait penser que les proches d'Hitler sont de banaux humains qui subissent l'attaque russes mais on va découvrir leurs démence s'accentuer jusqu'au final montrant qu'ils sont prêts à tout pour mourir sous la doctrine nazi, avant que la défaite arrive et le faire subir à leurs propres enfants.