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Combats pour Israël
En 1948, quatre volontaires se positionnent sur une colline près de Jérusalem, juste avant une trêve pendant la guerre d'indépendance. Premier long métrage produit en Israël, le film a été présenté...
le 2 nov. 2020
A voir pour son intérêt historique et son histoire d'amour...!!!
Si le film ne faisait pas partie des "1001 films à voir avant de mourir", je doute que j'aurais posé un œil dessus. Du réalisateur anglais Thorold Dickinson, je n'avais regardé jusqu'ici que le peu mémorable "Secret People" et uniquement parce qu'il permet de voir la divine Audrey Hepburn dans un rôle secondaire d'importance juste avant que "Vacances romaines" ne fasse d'elle une star pour l'éternité.
Bon bref, pour en revenir à notre "Colline 24", le film a été tourné par un anglais mais il est israélien. En fait, l'ensemble a un intérêt historique certain puisqu'il conte des histoires autour de la création, non sans douleur loin de là, de l'état d'Israël. Trois histoires pour être plus précis qui sont arrivées à trois soldats morts en défendant la colline 24 du titre (je ne révèle pas de spoiler, on est fixé dès le début sur le sort des protagonistes !!!).
La première histoire, de loin le moment le plus réussi du film, raconte le destin d'un policier irlandais qui va rallier la cause israéliennes par amour pour une juive qu'il était chargé de surveiller. Une romance touchante qui est loin de manquer de force.
La seconde histoire autour d'un juif américain qui va perdre la foi après une déculottée mais qui va la retrouver auprès d'un rabbin compréhensif est peu trop longue à se mettre en place.
Problème dont souffre aussi la troisième histoire du troisième soldat, un israélien cette fois, où ce dernier sur le champ de bataille va se retrouver face à un adversaire dont la révélation de son identité va se révéler être un véritable choc, et pour le protagoniste, et pour le spectateur aussi...
On a un quatrième personnage qui meurt pour la colline, une juive sépharade, mais elle n'a pas d'histoire... C'est bizarre mais c'est comme ça.
Bon, en dehors d'un trop long démarrage pour la deuxième et troisième histoire, ce que l'on peut reprocher à ce film c'est son côté propagandiste. Israël a raison, a de très bonnes raisons mais l'adversaire totalement impersonnifié (on dit juste que ce sont des arabes !!!) a l'air d'en n'avoir aucune. L'ensemble est furieusement pro-israélien et ça a tendance à être agaçant.
Une oeuvre à voir pour son intérêt historique et éventuellement pour l'histoire d'amour du premier soldat...
Bon bref, pour en revenir à notre "Colline 24", le film a été tourné par un anglais mais il est israélien. En fait, l'ensemble a un intérêt historique certain puisqu'il conte des histoires autour de la création, non sans douleur loin de là, de l'état d'Israël. Trois histoires pour être plus précis qui sont arrivées à trois soldats morts en défendant la colline 24 du titre (je ne révèle pas de spoiler, on est fixé dès le début sur le sort des protagonistes !!!).
La première histoire, de loin le moment le plus réussi du film, raconte le destin d'un policier irlandais qui va rallier la cause israéliennes par amour pour une juive qu'il était chargé de surveiller. Une romance touchante qui est loin de manquer de force.
La seconde histoire autour d'un juif américain qui va perdre la foi après une déculottée mais qui va la retrouver auprès d'un rabbin compréhensif est peu trop longue à se mettre en place.
Problème dont souffre aussi la troisième histoire du troisième soldat, un israélien cette fois, où ce dernier sur le champ de bataille va se retrouver face à un adversaire dont la révélation de son identité va se révéler être un véritable choc, et pour le protagoniste, et pour le spectateur aussi...
On a un quatrième personnage qui meurt pour la colline, une juive sépharade, mais elle n'a pas d'histoire... C'est bizarre mais c'est comme ça.
Bon, en dehors d'un trop long démarrage pour la deuxième et troisième histoire, ce que l'on peut reprocher à ce film c'est son côté propagandiste. Israël a raison, a de très bonnes raisons mais l'adversaire totalement impersonnifié (on dit juste que ce sont des arabes !!!) a l'air d'en n'avoir aucune. L'ensemble est furieusement pro-israélien et ça a tendance à être agaçant.
Une oeuvre à voir pour son intérêt historique et éventuellement pour l'histoire d'amour du premier soldat...
5
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le 5 juil. 2014
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