Le film raconte l’histoire d’hommes et de femmes, réels ou survivant dans nos mémoires, empreints de vie et de vérité.
Tour à tour beau, drôle et sincère, il touche par sa simplicité. Dans sa premier moitié, le cinéaste joue, dans un premier, habilement avec les clichés japonais, s’en amusant pour mieux les déconstruire. À mi-parcours, une rupture narrative s’installe : la légèreté initiale cède place à une réflexion plus profonde sur l’héritage laissé par l’image. Le discours s’épanouit, se prolongeant à travers ceux que la photographie capture, révélant un message qui prend progressivement toute son ampleur.