Silence, on tourne ! ...en rond
Septième Art et demi Comme à son habitude, Marguerite Duras offre à l'art une coquille vide, qu'elle lui tend sans formule de politesse pour qu'il l'emplisse. Or - elle ne l'a apparemment jamais...
Par
le 31 déc. 2017
Le site est de retour en ligne. Cependant, nous effectuons encore des tests et il est possible que le site soit instable durant les prochaines heures. 🙏
Voir le film
Comme à son habitude, Marguerite Duras offre à l'art une coquille vide, qu'elle lui tend sans formule de politesse pour qu'il l'emplisse. Or - elle ne l'a apparemment jamais découvert -, ce n'est pas en montant ensemble cent cinquante-deux plans fixes avec des voix off neurasthéniques et une poignée d'acteurs qui arpentent une plage que le doigt divin va transformer l'effort en perle du septième art. Surtout pas quand ledit effort ne pointe vers aucune direction en particulier.
Créée
le 31 déc. 2017
Critique lue 356 fois
D'autres avis sur La Femme du Gange
Septième Art et demi Comme à son habitude, Marguerite Duras offre à l'art une coquille vide, qu'elle lui tend sans formule de politesse pour qu'il l'emplisse. Or - elle ne l'a apparemment jamais...
Par
le 31 déc. 2017
Du même critique
Quand on m’a contacté pour me proposer de voir le film en avant-première, je suis parti avec de gros préjugés : je ne suis pas un grand fan du cinéma japonais, et encore moins de films d’horreur. En...
Par
le 26 oct. 2018
8 j'aime
(Pour un maximum d'éléments de contexte, voyez ma critique du premier tome.) Liu Cixin signe une ouverture qui a du mal à renouer avec son style, ce qui est le premier signe avant-coureur d'une...
Par
le 16 juil. 2018
8 j'aime
1
Si vous entendez dire qu'il y a Cluzet dans ce téléfilm, c'est vrai, mais attention, fiez-vous plutôt à l'affiche car son rôle n'est pas grand. L'œuvre est aussi modeste que son sujet ; Ledoyen porte...
Par
le 25 août 2018
7 j'aime
3