Je ne me rappelle pas de mon premier visionnage de ce monstre cinématographique, néanmoins je sais très bien que je le connaît et que je l'aime depuis que je suis petit. Et tout ça grâce à un jeune homme qui voulais à tout prix faire ressentir son goût de l'aventure et de la fantasy à une jeunesse plus que pessimiste.
Car si nous devons parler de ce film grandiose, nous devons parler de George Lucas et plus précisément de sa jeunesse, rempli de Comics américains, d'épisodes de Flash Gordon et d'un goût assez prononcé pour l'automobile.
Vue que le grand rêve de ce jeune homme à ce moment là, c'est l'automobile. Un beau rêve qui prendra fin lors d'un accident de voiture le 12 juin 1962, où ce dernier, alors âgé de 18 ans, faillit y laisser sa peau.
Après cela, Lucas abandonna toute sorte de rêve liée à automobile et se consacra totalement à des études de cinéma, malgré la réticence de ses parents (son père voulait qu'il reprenne alors son petit commerce), pour lequel il s'embarqua alors à l'université du sud de la Californie et là, la machine fût lancé. Il rencontra alors certains personnes qui seront important pour sa vie futur, comme par exemple Irvin Kershner, le réalisateur de star wars 5 qui était son prof à l'université, où encore ce cher Steven Spielberg ainsi que sa première femme, Marcia Lou Griffith. Et en 1968, Il fit une rencontre qui changera sa vie: celle avec Francis Ford Coppola.
Et là, ce fût parti pour une amitié profonde qui, en mai 69, créa le Studio American Zoetrope. Mais lors du commencement, c'est assez compliqué.
Car Lucas à un gros défaut qui fit irruption assez vite. C'est simple: il ne sait pas écrire de scénario. Et c'est problématique, vue que son premier film, THX 1138, fût détesté lors des visionnages test et la Warner, qui était la source des principaux financements, demanda alors de remboursé l'argent qu'il leurs avait donné, ce qui faillit sonner la fin du studio. Mais heureusement, Coppola accepta le contrat que lui avait envoyé Paramount pour qu'il réalise Le parrain et Lucas connu un petit succès avec son deuxième film, American Graffiti. Et c'est là que notre histoire commence.
À ce moment-là de leur carrière, la 20th century fox à des problèmes financiers et décide donc d’embaucher Alan Ladd Jr pour les aider (et ça marchera, mais revenons à nos moutons) et donnera son numéro de téléphone à Lucas car il a senti le potentiel de ce dernier avec American graffiti. Et pour Lucas, ce qu’il voulait à ce moment là, c’était revoir l’enfance qu’il avait eu du fait que les jeunes étaient pessimistes à ce moment-là (normal, guerre froide + celle du Vietnam + Watergate, l'odeur n'était que mauvais.), et c’est à peu près là que star wars commença sa course.
Vue qu’après une adaptation de Flash Gordon qui lui échappa des mains (bon, c’était pas si mal), il commença à écrire le scénario de Star wars et après de nombreux refus, il parvient à avoir un contrat avec 20th century fox suite au succès d'American graffiti et du soutien de Ladd Jr. Mais tout ne se passa comme prévu.
En effet, les chefs du studios n'ont pas confiance envers ce petit nouveau qui n'a fait qu'un film qui a marché et décident donc de ne pas lui passez le budget total qu'il avait demandé en lui enlevant 1 million de dollars et 1 million en moins dans le cinéma c'est énorme. Et cela impute à Lucas d'enlever plusieurs scènes comme un partie centré sur Alderaan. Mais cela ne décourage ce bon monsieur qui décide de partir en Tunisie pour le tournage les scènes de Tatooine. Et après de nombreux problèmes techniques sur le terrain et en dehors (comme les droïdes qui ont pris feu en Tunisie ou encore Lucas qui fit un infarctus), le film pût sortir en salle et ce fût un carton immédiat.
Et malgré tout ces péripéties, je ne peux qu'adorer ce film.
Car pour moi, ce film est l'étincelle qui a déclenché la flamme inconditionnelle envers le cinéma. Je ne serais jamais le même sans ça, et je ne m'aurai jamais intéressé à tant de films par après. Mon amour pour ce film, que ce soit pour son histoire, ses dialogues, ses acteurs (Harrison Ford, Carrie Fisher et James Earl Jones resterons dans mon cœur à jamais) , sa bande son magistral (John williams, tu es un génie) et pour tout le reste, est éternelle.
Et même si vous n'aimez pas ce film qui peut vous inspirez du dégoût pour de multiples raisons, vous ne pouvez douter de ce bonhomme qui, grâce à ce film et son génie, en inspira plein d'autre.
Sur ce, au revoir.
(Ps, si vous voulez vous intéressé sur tout le développement du film, je vous mets un lien pour les curieux).