Un scénario qui monte en puissance
Dès les premières minutes, on est dans le film. Pas besoin d’attendre un quart d’heure pour se laisser porter. Au départ, on se laisse doucement bercer, entre sourire et admiration pour le décor, les acteurs, la mise en scène. Puis l’histoire prend de l’ampleur, les personnages de Mia et Sebastian se dévoilent. On s’attendrit, on sourit, on a la pêche, on a envie d’applaudir, de se lever, de danser. Puis l’histoire s’accélère, notre cœur bas plus vite, un nœud se forme dans notre poitrine, on retient notre souffle. Et le « The End » apparaît. Le rythme va crescendo, on ne veut pas surtout pas que ça s’arrête ! Comme captés par la lumière de l’écran et le regard hypnotisant des acteurs, on reste là, sur notre petit nuage, en train de flotter dans l’univers Lalaland. Et pas une fois on a envie de regarder l’heure, pas une fois on pense à autre chose. On est là, avec le beau Ryan Gosling et la délicieuse Emma Stone.
Les émotions par la musique
Deux mélodies rythment principalement le film et marquent l’histoire de nos protagonistes. A la fois mélancoliques, douces et poétiques, elles nous transportent et nous font frissonner. La bande originale « City Of Stars » est un bon condensé des émotions que nous transmet Lalaland. Suite