50 ans que les Américains nous vendent leurs pseudos productions gangsters/ghettos, alors qu'il faut lorgner vers l'orient pour trouver la vraie rudesse de la rue qui existe depuis des millénaires là-bas.
Dans le cinéma d'époque asiatique: quand les méchants ont un bizz avec le gentil ou le héros, on crame sa maison et son commerce, on lui enlève les yeux ou les mains, puis SURTOUT on ne le tue pas. Par compte on fait le ménage autour de lui, on dilapide/tue/assassine/viole/mange ses parents, ses enfants, ses grands-parents, son maître, ses disciples, son chien, ses perroquets etc.
Après ces cons s'étonnent de subir son courroux.
Et bien sur on finit par un magnifique happy end alors que le type vient de tout perdre et finit avec la mendiante ou la servante du coin.