Moscou vivante
Précédente vision 31 décembre 2009 : On a jusqu'à présent préféré le génie de reconstruction d'une autre réalité d'Eisenstein et on a pas vu à sa juste mesure celui de Barnet, beaucoup plus juste,...
Par
le 13 oct. 2015
1 j'aime
Le jour se lève sur un microcosme moscovite où cohabitent drames et comédie du quotidien. Lendemains d’une révolution qui déchante."Je ne suis pas, je n'ai jamais été un homme de théories. J'aime avant tout la comédie, je me plais à introduire des scènes drôles dans un drame et des épisodes dramatiques dans un film comique" Boris Barnet
Créée
le 9 août 2024
Critique lue 3 fois
D'autres avis sur La Maison de la place Troubnaïa
Précédente vision 31 décembre 2009 : On a jusqu'à présent préféré le génie de reconstruction d'une autre réalité d'Eisenstein et on a pas vu à sa juste mesure celui de Barnet, beaucoup plus juste,...
Par
le 13 oct. 2015
1 j'aime
Le jour se lève sur un microcosme moscovite où cohabitent drames et comédie du quotidien. Lendemains d’une révolution qui déchante."Je ne suis pas, je n'ai jamais été un homme de théories. J'aime...
Par
le 9 août 2024
La mise en scène est intéressante, mais l'univers totalement irréaliste : les locataires de l'immeuble passe leur temps sur les paliers et dans les escaliers encombrés d'immondices ; le coiffeur lave...
Par
le 4 févr. 2023
Du même critique
Devenir père est un chemin balisé par l’amour et la transmission. Entre liens du sang et liens du cœur, une ballade pudique et douce-amère. La paternité est à la fois éternelle et changeante. La...
Par
le 19 août 2024
5 j'aime
Une réussite en tous points : casting, mise en scène, narration avec son montage alterné, une dramaturgie des émotions et des actions. Et le roman est très simplifié sans être trahi car l’imaginaire...
Par
le 11 juil. 2024
5 j'aime
Un thriller psychologique noir et dépouillé. Avec Costello, Delon restera à jamais la figure moderne du samouraï et l’incarnation de sa solitude.
Par
le 19 août 2024
4 j'aime