Ah la scène de ski où ils ne font pas les virages même en chasse-neige, avec le paysage qui défile derrière comme pour les traditionnels scènes de voiture chez Hitchcock. Et puis ces moments un brin fan-fiction et dramatisés quand le héros se souvient de quelque chose ou que sa belle le pousse dans ses "retranchements psychologiques", le film démontrant d'une approche de la psychanalyse pour le moins didactique. Mais bon, ça fait le charme, on rigole, même si parfois beaucoup de longueurs.
Le rêve par Dali, j'aurais vraiment aimé que ça dure plus longtemps.
J'apprécie aussi que cette femme soit belle et brillante, et que le réalisateur se mette de son point de vue pour nous montrer la lourdeur de certains mâles rodant autour d'elle. Enfin, alors que je suis rarement séduite par le physique des acteurs d'antan, Gregory Peck jeune est une beauté, ce qui ne gâche rien.