Sans honte aucune, je déclare avoir été littéralement enchanté par cette impressionnante guimauve qu'est "la Mélodie du Bonheur", cet enchaînement de clichés éternels transcendés par la musique de Rodgers & Hammerstein, et littéralement sublimés par l'énergie de Julie Andrews. Trois heures de bonheur, les larmes aux yeux, sans aucune fausse note dans cette mélodie,... puisque même l'aspect "politique" de la seconde partie exalte la résistance individuelle au fascisme sans tomber dans le manichéisme désormais de mise dans le cinéma actuel. [Critique écrite en 2001]