Après 'the ring' voici 'the dring'... ou pour être plus clair, après la cassette vidéo maudite, voici le téléphone portable maudit. Cela ouvre des perspectives de scénarios illimitées : l'ipod maudit, le gps maudit etc... Trêve de plaisanterie, 'La mort en ligne' surfe allègrement - pour ne pas dire pompe - sur la vague des films d'horreur qui ont fait la réputation du cinéma nippon dans ce domaine. A croire qu'il suffit d'être japonais, de pondre une histoire de fantômes plus ou moins crédible et tarabiscotée pour la vendre aux ricains, qu'un tâcheron en fasse un remake sans intérêt, et encaisser le pactole. Même si on a quand même vu pire dans le domaine, on ne peut pas dire que le scénario soit des plus brillant, il est même carrément confus vers la fin. La mise en scène n'arrive pas non plus à distiller une ambiance suffisamment inquiétante pour faire oublier, ou au moins égaler, ses illustres prédécesseurs.