Un petit chef-d’oeuvre que ce 1er volet. Léger, frais et finement pétillant comme du bon champagne. C’est après « L’Inspecteur s’emmêle » que le cocktail Sellers-Edwards est devenu franchement indigeste et vaseux (inregardable aujourd’hui tellement ça a salement morflé).
Ici le duo Capucine-Niven étincelle. Les dialogues sont merveilleusement ciselés, et la partition de Mancini sublime le tout (mon trio de préférés reste « The Village Inn », « Piano And strings », et « Cortina ».
Arf, Robert Wagner en ‘neveu’ qui dort dans le lit de son riche ‘oncle’, mouais mouais c’est cela bien sûr… Ça change du valet ou du butler, pas vrai bébert ? ;-)
De drôles de zèbres en vrai tous ces gens-là, pas besoin de déguisement d’animaux, messieurs-dames…Ils s’amusaient bien à l’écran tout du moins; dans la réalité quotidienne c’étaient / ce sont souvent de tristes individus et des ‘pauvres types’, comme l’observait Simenon, qui s’y connaissait.