Donc, la conclusion de la trilogie préquel qui ramène la Planète des Singes au goût du jour se conclue. J'ai tout suivi, même ceux des 60'. Cet opus mêle une rare intensité à une image naturelle bluffante: photoréalistes, les singes deviennent les humains et les Hommes les bêtes. Poétique, descriptif, cruel, une pure bombe !
L'antagoniste, joué par notre Woody, m'a rappelé ce brave Marlon dans Apocalypse Now (d'ailleurs référencé) tant son personnage est nuancé, je ne parviens pas à déceler la moindre erreur dans quelque passage que ce soit. Emotionnel, Suprématie m'a tiré la larmiche à deux reprises, tant les images servent au récit. Touchant, à mi-chemin entre Logan et The Last of Us.
Un film grandiose dont beaucoup devraient s'inspirer et qui conclue magnifiquement la saga !