Commencé par Rossellini, interrompu par la guerre, repris par Pagliero en 46, le film appartient davantage au deuxième réalisateur. Un mélodrame qui atteint au moins 7 sur l'échelle de Richter du roman-photos. L'histoire d'une fille entretenue, condamnée à susciter le désir bestial des mâles. Mis en scène sans nuances, ce n'est pas du néo-réalisme, plutôt du vieillot-misérabilisme.

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le 31 juil. 2019

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