2
Ni intérêt.
Voici une oeuvre qui est au mieux un thriller très moyen, au pire un très mauvais film d'angoisse. Le problème étant qu'il essaie toujours de se positionner au milieu. Ce n'est pas le scénario sans...
Par
le 12 sept. 2012
8 j'aime
Les autres.
Premier film de Jaume Balaguero, l'heureux co-réalisateur de "[Rec]", "La secte sans nom" reçu un très bon accueil à sa sortie, gagnant de nombreux prix dans des festivals tels que Sitges ou Gerardmer. Un brin excessif tout ça, tant le film a quelque peu vieilli et ne tient pas la comparaison face aux classiques du genre comme "Seven". Longuet et un peu plan-plan, le film de Balaguero parvient tout de même à créer une atmosphère malsaine et oppressante, où tout happy end est exclu.
6
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Gand-Alf and Emma Peel's Excellent Bluraythèque., Dimension Films. et 1999.
Créée
le 13 sept. 2012
Critique lue 445 fois
1 j'aime
D'autres avis sur La Secte sans nom
3
...
- Acteurs en mousse - Orchestrations musicales issues de l'album Richard Clayderman au coin du feu - Procédés anxiogènes ridicules (incrustation de vidéos amateurs, son saturé) - Rythme et suspens...
Par
le 22 oct. 2012
6 j'aime
3
7
La méchanceté est une clé qui vous ouvre des portes
En 2000, le jury de Gérardmer découvre un jeune réalisateur de 32 ans à travers son premier long métrage: "La secte sans nom". Une œuvre qu'ils apprécient au point de lui décerner le prix du jury,...
Par
le 12 janv. 2012
6 j'aime
Du même critique
9
Enter the void.
On ne va pas se mentir, "Gravity" n'est en aucun cas la petite révolution vendue par des pseudo-journalistes en quête désespérée de succès populaire et ne cherche de toute façon à aucun moment à...
Par
le 27 oct. 2013
269 j'aime
36
9
Demande à la poussière.
Les comparaisons systématiques avec "2001" dès qu'un film se déroule dans l'espace ayant tendance à me pomper l'ozone, je ne citerais à aucun moment l'oeuvre intouchable de Stanley Kubrick, la...
Par
le 16 nov. 2014
252 j'aime
14
10
De bruit et de fureur.
Il y a maintenant trente six ans, George Miller apportait un sacré vent de fraîcheur au sein de la série B avec une production aussi modeste que fracassante. Peu après, adoubé par Hollywood, le...
Par
le 17 mai 2015
212 j'aime
20
