Ni intérêt.
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Au sein de l'indiscutable vitalité du cinéma fantastique espagnol, cette "Secte sans Nom" brille particulièrement par la belle angoisse - quasi métaphysique - qu'elle fait naître et nourrit, plutôt cruellement, à coups d'images subliminales. Arrivant à matérialiser le vertige face au Mal absolu (références pertinentes aux atrocités expérimentales nazies), ce film terriblement éprouvant et pourtant non sans rigueur, risque bien de devenir un modèle du genre, loin du second degré et de la faiblesse thématique du tout-venant du cinéma d'horreur.
[Critique écrite en 2003]
Créée
le 3 sept. 2018
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