La Vérité si je mens ! par Aurélien Boucher

Édouard Vuibert est au bout du rouleau. Victor Benzakem, entrepreneur prospère du quartier du Sentier, le prend sous son aile quand une bagarre l'oppose à deux joueurs de bonneteau. Le prenant pour un Juif, il décide de l'embaucher comme manutentionnaire. Eddie laisse le quiproquo s'installer sur ses origines et il va faire son chemin dans une communauté chaleureuse jusqu'à séduire Sandra, la fille de son patron. Mais au cours de la préparation du mariage, Eddie se démasque involontairement. Il n'est pas juif ! Il déchaine alors le scandale et la colère de la belle Sandra.

LA VERITE SI JE MENS ! est une comédie française culte de la fin des années 90 et qui a lancé une franchise avec une trilogie et un préquel.

J'ai trouvé ce film assez bon bien que c'est juste un film de pote pas extraordinaire.

L'histoire est assez correcte, sur un jeune chômeur qui finit par être embaucher par un patron juif avec ce dernier qui le prend pour un juif à cause d'un quiproquo avec un collier juif.

C'est correct bien que pas extraordinaire, pas tout le temps passionnant et pas très hilarant, bien que le tout est assez sympa avec l'histoire d'Edouard qui ment sur ses origines pour profiter de sa nouvelle situation sociale, pour au final être confronté à son mensonge.

On a le droit à des scènes marrantes comme Edouard qui a du mal à s'adapter à un repas de tradition juif, le moment où il se confronte à un chinois pour livrer la marchandise, la sous-intrigue avec Dov qui couche avec la compagne de Rafi et qui la met enceinte, ainsi que la dernière partie avec Edouard qui se retrouve confronté à son mensonge durant la préparation du mariage étant donné qu'il n'a pas de preuve du fait que sa famille est juif.

Le casting est assez bon, avec Richard Anconina, Vincent Elbaz, José Garcia, ainsi que Richard Bohringer dans le rôle du patron juif intimidant.

Après la mise en scène est correcte, et la musique est bonne notamment ALABINA.

Une comédie française assez bonne.