La vie de David Gale
Dans un pays où la peine de mort règne, David Gale va tout tenter pour la faire abolir.
Ce film réalisé par Alan Parker. Il est sorti le18 février 2003 en France.
L’histoire se déroule au Texas, quand il y avait la peine de mort. David Gale est un ancien professeur de philosophie dans une université du Texas et il proteste contre la peine de mort avec Constance, son amie, leur association s’appelle Deathwatch.
Étant accusé du viol de constance, il appelle Britsey Bloom. Une journalise à qui il va raconter les raisons de son inculpation.
Le 1er jour, il lui raconte comment il s’est fait renvoyé de son poste de professeur à cause d’une accusation de viol sur une élève qui s’est avérée fausse. Mais il avait perdu toute crédibilité devant les parents des élèves.
Le 2ème jour, il lui raconte la douleur d’avoir perdu sa famille. Sa femme, Sharon, qui a divorcé et pris leur enfant Jaimie avec elle pars en Espagne.
David Gale qui a tout perdu sombre dans l’alcool. Heureusement son amie Constance l’aide à se repentir.
Le 3ème jour, David Gale explique que Constance était atteinte de leucémie.
Quand ils arrivent à l’Hotel, ils voient une cassette suspendue au millieu de la chambre. Ils mettent la cassette dans le lecteur. Il s’agit d’une vidéo montrant Constance entrain de s’étouffer par terre. Ensuite Britsey retourne sur la scène du crime de constance et va essayer de disculper David Gale.
Cette péllicule est assé compliquée a comprendre en raison du plan inventé par David Gale, Constance et Dusty pour prouver qu’il y a des failles dans le système de peine de mort. La musique rajoute de l’intensité à l’actions même si elle est parfois assé agressive. Kevin Spacey assure parfaitement le rôle principal et Kate Winslet est, elle aussi, parfaitement crédible. Toutefois, il manque un peu de piquant à l’action en raison de quelques longueurs qui donnent à ce thriller un tempo plutôt lent.
En conclusion, j’ai trouvé ce film particulièrement agréable à regarder car il faut beaucoup réfléchir pour le comprendre malgré le manque d’action et de piquant.
Mathis Pichonnaz 11A