La Voie lactée par Kaneda
Ce qui est bien avec Bunuel c'est que, malgré qu'on reconnaisse son style immédiatement et comme comme chaque grand cinéaste on retrouve souvent les même motifs, thèmes et problématiques, à chaque découverte d'un de ces films on est toujours surpris. Comme si c'était le premier film du cinéaste qu'on voyait.
La Voie lactée, comme Le Fantome de la liberté surprend par sa forme trés libre. On suit deux personnages, puis sans aucune justification d'autres, ainsi de suite. On traverse des époques différentes avec des personnages qui passe de l'une à l'autre naturellement. Passé, présent. Tout ça est mélé quand on évoque les interprétations radicales et parfois absurdes d'une religion.
Quelque soit l'époque, le même aveuglement persiste...