Critique de Lascars par Cretine
Je traverse que quand le petit bonhomme est vert.
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le 16 juin 2010
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Chapeau bas ! Il faut l’avouer : faire passer au grand écran cette série de mini-épisodes au ton si singulier était une sacrée gageure, et pourtant ils l’ont fait ! Plus encore : ils l’ont bien fait ! Techniquement irréprochable, l’exercice formel est d’une richesse incroyable, tout à l’honneur de ce microcosme mis ici en avant. Car en effet, loin du simple produit marketing ciblé « djeunz » comme certains pourraient le cataloguer, ces "Lascars" piochent allègrement dans l’univers très cosmopolite de la série afin de construire une intrigue burlesque de très haut niveau cisaillée de dialogues dignes de Michel Audiard ! C’est bien simple : personne ne se sent jamais exclu de cet univers. Tout est si humain, drôle, hilarant même, qu’au final on détient bien là un joyau brut de comédie, véritable déclaration d’amour à l’univers de la rue et à laquelle – il faut bien l’avouer – nous succombons tous avec plaisir. Ah que c’est bon !
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Créée
le 9 nov. 2017
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