J'ai enfin vu ce légendaire navet.
Le genre de navet qui semble interdit de voir sous peine d'être transformé en navet.
C'était écrit d'avance qu'on atteindrait des summums de nullité, mais j'ai quand même voulu le regarder, moins d'une semaine après avoir subi San antonio. S'infliger de telles choses, faut en vouloir quand même. Je l'ai bien cherché diront les âmes chagrines.
Mais au moins, c'est chose faîtes ! Je les ai vus !! Car le cinéma, c'est aussi ça : d'authentiques navets, devenus de veritables légendes urbaines.
Et puis j'aime bien la potée.