Le film a tout pour déconcerter le spectateur
Troisième court-métrage pour le tandem Jeunet/Caro qui se sont essayé à une œuvre post-apocalyptique se déroulant uniquement dans un bunker. D'une durée de 26 minutes, en noir & blanc, dénué de dialogue mais avec seulement des bruitages en fond sonore, Le Bunker de la dernière rafale (1981) a tout pour déconcerter le spectateur. On ne comprend pas réellement où veulent en venir les réalisateurs, l'intrigue est relativement complexe (si on a pas pris la peine de se renseigner avant, notamment en prenant connaissance du synopsis). La vingtaine de minutes nous paraît interminable, mais on peut déjà reconnaître l'atmosphère de La cité des enfants perdus (1995), œuvre fantastique qui fut réalisé par Jean-Pierre Jeunet & Marc Caro.
http://qr.net/ivn