Yo, yo, yo, le Chevalier Black pour vous dévêtir damoiselles.
L'une des premières choses qui vient à l'esprit de cet être indolent c'est de draguer.
Le blackos du ghetto arrive en terre moyenâgeuse, armé de ses rimes craignos, et il est pressé de montrer qu'il est con comme ses pieds.
Il ne fait pas attention aux paysans ? Aux paysages qui s'étendent à perte de vue ?
Et leurs habits de mémères, il pense que ça s'implante dans un coup de caméra caché dont il serait la victime ? Il n'a pas supporté le choc en sortant la tête de l'eau ?
Il pense qu'on a donné un coup de pied assez fort à son popotin pour qu'il tombe dans un lac se situant à plusieurs kilomètres du château fort ?
Bon, cela dit, si on avait pu se saluer torse-contre-torse lui et moi... histoire que je le félicite pour avoir réussi à faire jouer un orchestre antique sur une musique qui défouraille les tympans, même ceux des vieux os. Respect man.
Non, en fait, tout ce tas de mots desséchés... c'est du baratin.
Je veux pouvoir donner un aspect "cool, cool, cool" à ce film, mais j'arbore un sourire comme celui sur l'affiche en guise de déconnade.
A l'époque je me faisais une joie de mater l'heure et demie de ce chevalier fou-fou, de ce roublard qui s'épile les poils du nez au début du dit film. J'étais même assez perché pour penser qu'il était possible de vivre la même galère en sautant dans une flaque d'eau. La magie de l'imagination enfantine vous dis-je. Ca n'avait pas de limite.
Les années sont passées, et ça reste une petite aventure familiale sans prise de tête. Mais n'allez pas mettre le nez n'importe où dans cette comédie, autrement ça schlingue. Restez bien en retrait et donnez-vous bonne conscience.