Encore une fois, pour dupieux, c'est un sans faute.
Film d'ouverture au dernier festival de cannes, voilà un film qui fait contre pied au festival.
Non seulement, le film est hilarant, mais pose les questions sur le cinéma, sa situation actuelle (les abus sexeuls, la jalousie, la place de l'ia).
Ce qui fait que le deuxième acte est une franche réussite est qu'il revient à l'origine de la carrière de dupieux à savoir nonfilm, en supprimant la frontière entre realité et fiction. Donnant une sensation d'être nul part (et peut être partout). Ce nul part qui me plaît chez dupieux (et aussi qu'il est à part dans le cinema)