Nous avons affaire ici à une abondance de métaphores sur l'(homo)sexualité, la drogue, l'écriture, l'imaginaire, l'aversion, la création, la recherche de soi et j'en passe, rendant l'adaptation cinématographique de l'oeuvre de l'écrivain W.Burroughs aussi fascinante, troublante, dégueulasse (oh oui) que complexe.
Ce qui rend cette dernière d'autant plus délicate est l'apport incontestablement personnel qui peut ébranler l’interprétation que l'on peut se faire de quelques scènes, voire du film en entier.
N.B : Je n'ai su réellement trouver la note que j'attribuerais à ce film, mais ce fut un tellement gros WTF que ça en valait carrément bien le coup d’œil !