Fils indigne?
Moyen. Ce film n'apporte pas beaucoup aux deux précédentes versions du mythe, mais se laisse tout de même voir, notamment grâce à l'interprétation d'excellents acteurs de l'époque et un humour noir...
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le 30 oct. 2017
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Franchement, il n'y a rien à jeter dans cette perle du cinéma fantastique qui rivalise à mon sens avec les deux premiers épisodes de la saga tournés quelques années plus tôt par James Whale. Le grand Basil Rathbone, qui tourne la même année son premier Sherlock Holmes (Le chien des Baskerville), est impeccable dans le rôle d’un scientifique aux intentions nobles dépassé par les événements tandis que Boris Karloff est toujours aussi expressif et touchant derrière son masque de monstre couturé. Béla Lugosi laisse au vestiaire sa cape et ses dents de vampire pour composer un homme estropié ivre de vengeance très crédible. Les décors expressionnistes (on pense souvent au Nosferatu de Murnau) sont magnifiques tout comme la photographie aux somptueux noirs et blancs et aux cadrages soigneusement composés.
Créée
le 19 août 2020
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le 30 oct. 2017
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---Bonjour voyageur égaré. Cette critique fait partie d'une série. Tu es ici au quatrième chapitre. Je tiens à jour l'ordre et l'avancée de cette étrange saga ici...
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le 7 nov. 2018
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