Le Grand Attentat d’Eiichi Kudo marquera par son exposition et son dénouement à fleur de peau dans lesquels on se perd dans un brouhaha de son et d’action comme si nous étions au milieu des belligérants de cette cause perdue. Le cinéaste nippon parvient également à raconter avec force des portraits d’homme et de femme qui sont prêt à tout les sacrifices pour atteindre leur but mais aussi les aspects les plus sombres comme les trahisons ou bien la lâcheté. Un portrait noir d’une révolte qui parvient à contaminer même les plus désenchantés et inactifs à l’image du personnage de Haru, lequel retrouve une véritable condition de samouraï droit et juste. Une fin monumentale.
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