A première vue, encore une histoire de mecs... Et bien, pas que... C'est surtout l'histoire d'une bande avant tout qui, peu à peu, va livrer sur fond de mal-être ses rêves, ses blessures et ils vont se réparer ensemble et gagner. Oui, car le vrai challenge est comme il est dit au début et à la fin, très justement, un ROND peut entrer dans un CARRE et un CARRE peut entrer dans un ROND. Ces hommes qui cherchent autre chose trouvent bien plus. Certains perdent, d'autres renoncent, ou regagnent ou même gagnent tout court. Les femmes ne sont pas absentes, loin de là. Et cette inversion des visions manichéistes est très intéressante puisque ce sont les femmes qui entraînent et qui en apparence ont l'air fortes et déterminées alors qu'elles ne sont que des être humains tout comme les hommes en face d'eux. Une belle leçon d’humanité avec des acteurs au top de leur forme !
Créée
le 6 nov. 2018
Critique lue 195 fois
D'autres avis sur Le Grand Bain
Gilles Lellouche. S’il fallait faire un portrait de ce type, celui-ci commencerait pour moi par son rôle de gros beauf dans Mon Idole, où on le voyait, le temps de quelques secondes, expliquer d’un...
Par
le 13 juin 2018
103 j'aime
6
Je suis allé voir le Grand bain malgré l’agacement procuré par un enthousiasme général douteux. Le film correspond en partie à ce qu’on pouvait attendre, soit une comédie moins intéressée par les...
Par
le 28 oct. 2018
64 j'aime
6
Il est des séances quelque peu exceptionnelles. Semblables à de l’eau bénite, pour ainsi dire. Non parce qu'elles révolutionnent le Cinéma ou en renforcent l’édifice, mais bien parce qu'elles...
Par
le 3 nov. 2018
47 j'aime
8
Du même critique
En 1940 dans le village de Bussy, occupé par les allemands, une jeune épouse, Lucille qui vit avec sa belle-mère dans une belle maison, se voient contraintes d’héberger un officier allemand. Ce...
le 7 avr. 2015
5 j'aime
Histoire américanisée de la restitution d’une célèbre œuvre de Klimt volée par les nazis à une famille juive autrichienne. Entre Helen Mirren qui semble parfois jouer pour l’oscar tout en faisant un...
le 13 sept. 2015
4 j'aime
Long, long et ces ralentis et ce fond musical omniprésent… Que dire ? Puant de machisme et de testostérone, j’ai eu du mal à admettre que les femmes présentes soient réduites à la « mère »...
le 19 juin 2015
3 j'aime
