Vu dans le cadre du jury SensCritique pour le Festival d'Annecy 2021 :
Sur un sujet passionnant, Georges Schwizbegel préfère souvent jouer de l'abstraction et partir dans des recherches visuelles pas inintéressantes, mais complètement en rupture avec le beau récit classique que « Darwin's Notebook » semblait promettre. Au moins apprend-on certaines choses et l'on comprend à peu près où le réalisateur veut en venir (du moins concernant l'histoire), mais je reste assez dubitatif sur ces audaces formelles finalement assez gratuites et pas vraiment en phase avec le propos. Sans doute aurait-il fallu faire deux courts-métrages distincts et non pas les mélanger en un seul... Assez décevant, surtout au vu des promesses initiales.