Pourquoi je n'ai pas aimé le Loup de Wall Street.
Bon, la critique va être courte.
Je m'emballe toujours un peu trop avant de commencer mes critiques.
Ca commence avec plein d'idées, et une fois la page blanche et le titre écrit, je ne suis plus sûre de moi.
Je ne suis plus sûre de moi car mes arguments ne vont pas directement dans le sens formellement cinématographique du film. Niveau sensation y a rien à en redire c'est sûre.
Mais moi, en tant que femme. Je ne suis pas ressortie bien de ce film. C'est le premier point de ma critique.
Ca ne m'arrive pas souvent ce genre de sensation face à un film, mais là c'était flagrant. Comme une envie de gerber. Ouais, j'avais envie de gerber, c'était pas agréable. D'un côté, je nageait dans l'extase et de l'autre je me sentais pas bien. Un peu comme la méthaqualone que prend notre cher DiCaprio finalement.
En sortant de la salle, je baissait la tête. Ouais, je suis sortie du film avec mes potos (mecs) qui ont surkiffé le film et moi je baissait la tête je vous dis !
La testostérone crée par ce film ne m'a pas touché, je me suis sentie vulnérable. Comme si on ne voulait pas partager cette sentation finale avec moi. Pourtant, d'habitude je m'identifies aux héros (masculin ou féminin). Là, je ne voyais que le décors.
Pourquoi n'ai-je vu aucune subtilité ? Aucun message positif ? Aucune lueur d'espoir ?
Fin.
Cette critique est un appel de détresse d'une cinéphile perdue.