Cette critique fait partie d'une série sur les films de loup-garou avec Le loup garou de paris, The Howling, Le chaperon rouge, Peur bleue (1986) alias Silver Bullet, Pleine lune (1996) alias Bad Moon.
3 Américains un peu concon font un tour de France et décident de faire du Bungee jumping depuis la tour Eiffel. Au moment où Andy s’apprête à sauter il remarque une jeune femme qui tente de se suicider. Il l’a rattrape en plein vol, la sauve et se blesse. Une fois sortie de l’hôpital il va chercher à la retrouver mais découvre qu’elle fait partie d’une bien étrange secte…
LGP est un film très con et très assumé qui part bien avec des moments très drôles et qui s’effondre en cour de route, le navet prenant pas sur le nanar. La faute notamment à un scénario bien débile et surtout une histoire qui trainent en longueur sur la fin et casse complétement le rythme, pourtant le film fait moins d’une heure trente.
Les méchants loups-garous sont des anarchistes tordus qui disent vouloir purger le monde des nuisibles (les touristes américains ?) et répandre la bénédiction du loup auprès des gens dignes le tout dans un blabla proto nietzschéen sans queue ni tête.
En résumé ce n’est pas moche, c’est à moitié français et ça s’effondre comme un soufflé raté au four, pas grand-chose à ajouter hormis que ça empile les clichés sur les américains et les français comme une tour de Babel.
Un peu une déception car la bande annonce m’avait marquée dans m’a tendre enfance au point de m’en souvenir 20 ans après.
3 morsures sur 10