Ralph Burton travaille dans la mine. Un éboulement survient. Ralph se retrouve bloqué. Au bout de cinq jours, il arrive à sortir à l'extérieur. Il ne trouve personne. Il va traverser des villes abandonnés, des embouteillage de voitures sans conducteurs et des lieux délabrés. Ralph Burton débarque à New York. Il va de rue en rue en faisant du bruit pour trouver quelqu'un...Son vœux va être exaucé.
Le monde, la chair et le diable est un classique du cinéma post apocalyptique. Mais le long métrage va aborder comme thématique le racisme.
On retrouve tout les passages obligé du genre. Il les invente même. Le film est inspiré d'un livre. C'est la littérature qui a créé les codes. On pense évidemment à " je suis une légende " de Richard Matheson.
Mais dans la monde, la chair et le diable, il n'y a pas de vampires, de zombies où de mutants. Ici, il y a deux hommes et une femme. Et l'un des hommes est Ralph Burton. C'est un homme de couleur. Et il est interprèté par Harry Bellafonte, acteur magnifique.
Le monde, la chair et le diable est un film qui fait froid dans le dos, qui donne à réfléchir et surtout d'une grande intelligence. Tout les films d'anticipation devraient avoir ses qualités. Chef d'œuvre.
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