Rideau
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Ce troisième opus, non désiré au départ par le cinéaste, mais pourtant nécessaire dans sa manière de clore le débat s'avère un savant mélange des deux films précédents. On y retrouve la violence et l'intensité du premier, le côté intimiste, passionnel et résolument dramatique du second. Une fois encore Michael va devoir se battre sur tous les fronts à la fois : Joey Zasa d'une part, la planification de ses indulgences avec l'Eglise. Pacino, cheveux courts et grisonnants, laisse apercevoir le début de son numéro de vieux chien fou fatigué dans lequel il excelle aujourd'hui (Heat, Insomnia). Quasiment seul en scène cette fois-ci, il porte le film de Coppola sur ses épaules. Une fin qui, bien que tardive, Le parrain 3 clôt d’une très belle façon cette saga mythique, avec bien sûr ce brillant final à l’opéra dont on n’a pas finit d’entendre parler. Merci Francis.
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Créée
le 27 mars 2016
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