Critiques de Le Petit blond de la casbah

Alexandre Arcady est depuis plus de 4 décennies le cinéaste officiel des pieds noirs algériens . Avec le coup de Sirocco, le grand carnaval, Ce que le jour doit à la nuit, il s'est maintes fois...

Ce qui me fascine avec Alexandre Arcady c'est sa faculté à creuser toujours plus profond. Car si mon degré d'embarras n'a été ni plus ni moins élevé qu'à l'habitude, en entendant des fulgurances...

Ça m'épate, vraiment, ce retard pour la panoplie complète du parfait masochiste pour un Noël BDSM : le martiné clouté, les pinces à tétons flirtant avec le tétanos, et même un bouquin de Yasmina...

Alexandre Arcady revient sur grand écran pour ce qui s’annonce être son ultime film. Et c’est un élément qui n’est pas à négliger car cette nouvelle création partage de très nombreux points communs...

LOL."Alger c'était la plus belle ville de France". Il y a plusieurs façons de comprendre cette phrase. Ou bien c'est une ode à l'Algérie pour dire que la France n'aurait jamais pu faire une ville...

On navigue avec plaisir entre le monde de l'enfance en 1960 et celui de la nostalgie en 2003. On rit et on pleure avec eux. Mention particulière à Jean Benguigui dans le rôle de l'énorme grand-mère.

Pour ceux qui ne connaissent pas le cinéma d'Arcady le film peut paraître obscur ou déjà vu. Pour les habitués, ils ont enfin l'impression de voir la véritable histoire dont les indices avaient été...

j'ai bien aimé l'aspect du film en général ,la vie à Alger dans les années 50 le mélange des cultures et des religions sans haine ,ni agressivité ,c'est vrai que çà devait être sympa comme vie ,après...

Manque de respect total. Le film joue sur une tristesse qui ne devrait pas exister. A deux doigts de vouloir dire que les algériens étaient méchants d'avoir fait quitter la famille que l'on suit...

On imagine que le film se voulait sincère et personnel, mise en abime de l'histoire d'un père - réalisateur - qui fait visiter à son fils son passé, et raconte l'Algérie d'après guerre à l'occasion...