Un cœur d'enfant
En cette fin d'année 2018, Disney brûlent leur dernière cartouche en réveillant un mythe dont personne n'aurait jamais crû/demandé le retour. En ne comptant pas le biopic Dans l'Ombre de Mary, ce...
Par
le 20 déc. 2018
41 j'aime
2
6.5: La coupe est pleine
Michael Banks n’est plus le petit garçon ayant connu Mary Poppins: il est à son tour père de famille... et veuf, son épouse ayant trouvé la mort. Du coup, cette dernière gérant tout l’aspect financier de la maison Banks, la demeure est sur le point d’être saisie vu que l’emprunt bancaire ne peut être remboursé. L’occasion pour la plus célèbre gouvernante volante et son ami allumeur de réverbères de filer un coup de main à la famille Banks, d’autant que le directeur cupide de la banque ne rêve que de s’installer dans la propriété.
53 ans après Julie Andrews, le retour de Mary Poppins promettait d’une part un retour en enfance, mais aussi une part de renouveau chorégraphique avec le réalisateur de Chicago aux commandes. L’on reste un peu sur notre faim.
La magie visuelle est bien présente avec à nouveau des séquences animées toujours aussi délurées et un casting impeccable, particulièrement les enfants de Michael et Emily Blunt qui sans nous faire oublier l’inimitable Julie Andrews est excellente.
En revanche, il manque à mon sens une magie musicale : les chorégraphies sont irréprochables mais l’on ne ressent pas les émotions ou les zygomatiques de l’original. Il y a également quelques longueurs, particulièrement autour de Big Ben et d’un faux suspens. La coupe brisée, objet symbole de Michael dans le film, pourrait être réparée mais sans cet émerveillement ressenti alors.
Se laisse néanmoins voir...
Créée
le 22 déc. 2018
Critique lue 753 fois
7 j'aime
D'autres avis sur Le Retour de Mary Poppins
En cette fin d'année 2018, Disney brûlent leur dernière cartouche en réveillant un mythe dont personne n'aurait jamais crû/demandé le retour. En ne comptant pas le biopic Dans l'Ombre de Mary, ce...
Par
le 20 déc. 2018
41 j'aime
2
Ce film se veut être une suite de l’oeuvre sortie en 1964, ma critique se fera donc à l’aune de ce que j’ai pu penser et apprécier dans son aîné. Précaution d’usage, je suis extrêmement fan du...
le 29 déc. 2018
24 j'aime
2
J'avais quitté Disney à la sortie d'une séance où il s'était méchamment Cassé la gueule (et une Noisette au passage) dans Quatre Royaumes en mode small teuf. J'attendais donc qu'il termine en beauté...
le 22 déc. 2018
19 j'aime
5
Du même critique
La bombe humaine 1945: les Etats-Unis ont mis fin à la seconde guerre mondiale en larguant des bombes atomiques sur le Japon. Ces armes de destruction massives ont été élaborées à partir de Robert...
Par
le 19 juil. 2023
32 j'aime
4
Le pigeon et le vautour 1957: Enzo Ferrari est en pleine crise : entre son entreprise éponyme qu’un prêt pourrait couler, son épouse Laura découvrant sa relation extra-conjuguai avec Lina, d’où...
Par
le 27 déc. 2023
30 j'aime
5
La ligne rouge L'hôtel El Royale est situé sur la frontière Nevada-Californie. Mettez-y un prêtre, un agent de la CIA, une chanteuse exploitée, une femme en ayant kidnappé une autre ainsi que le...
Par
le 2 nov. 2018
30 j'aime
3