J’ai entendu tout et son contraire sur Le Roi Arthur de Guy Ritchie. J’avais adoré le premier Sherlock Holmes avec Robert Downey Jr. et Jude Law : c’était frais et moderne dans la forme, tout en étant old school dans le fond. J’ai moins apprécié sa suite, l’effet de nouveauté étant passé et tout étant misant sur son aspect « bling-bling ». Je retrouve donc, des années plus tard, le réalisateur britannique qui nous propose là sa version très personnelle de La Légende d’Excalibur…
De mon côté, je n’ai aimé, ni détesté : je suis entre deux eaux avec ce film. En d’autres termes : ça a été les « montagnes russes » pendant deux heures. J’avais d’abord envie de me barrer de la salle et, juste après, j’étais pris en plein dedans. Je ne savais pas du tout comment prendre ce long-métrage, car il ne semblait pas assumer les nombreuses pistes qu’il lançait à tout-va. D’un autre côté, j’ai apprécié ce décalage dont fait preuve Guy Ritchie dans la mise en scène, dans les effets spéciaux et dans le montage de King Arthur.
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